Son invention est due à la gourmandise de Marie Leszczynska, épouse de Louis XV. Cette reine appréciait beaucoup le « vol-au-vent », sorte de grande croustade feuilletée que l'on partage entre les convives. Pour varier les hors d'oeuvre des invités, tout en cédant aux caprices de Sa Majesté, un cuisinier créa le vol-au-vent individuel : la « bouchée à la reine » dont la recette a gardé le nom.
Ingrédients (pour 4 personnes) :
- 4 vol-au-vent en pâte feuilletée
- 2 queues de homard cuites
- Quelques brins d'aneth pour décoration
Pour la sauce au champagne :
- 1 échalote émincée finement
- 30 g de beurre
- 20 cl de champagne brut
- 20 cl de crème fraîche entière liquide
- 1 c. à c. de fécule de maïs (optionnel)
- Sel et poivre
Technique :
1. Décortiquer les queues de homard avec précaution pour en extraire toute la chair ; découper ensuite la chair en morceaux ±réguliers ; garder 4 des plus beaux morceaux.
2. Préparer la sauce au champagne : dans une poêlon, laisser fondre le beurre ; ajouter l'échalote émincée et faire revenir, sur feu doux, jusqu'à transparence.
3. Verser le champagne et laisser réduire de moitié.
4. Ajouter la crème fraîche, laisser épaissir sur feu moyen ; si besoin, ajouter la fécule diluée dans une peu d'eau ; saler et poivrer ; réserver.
5. Peu avant de servir : réchauffer les vol-au-vent dans un four préchauffé à 180°C (th 6).
6. Chauffer la sauce au champagne si celle a été réservée ; ajouter les morceaux de homard à la sauce et réchauffer l'ensemble à petit feu.
7. Au dernier moment, garnir les vol-au-vent réchauffés de la sauce champagne au homard ; poser délicatement un morceau de homard réservé sur chaque bouchée et ajouter une pluche d'aneth.
8. Servir aussitôt avec une coupe de champagne question de prolonger le plaisir.

Cette photo a été optimisée
avec l'aide de l'intelligence artificielle
Le mot de la langue francique « wastil » qui a fait « wastel », puis « gastel », et enfin « gâteau » signifiait nourriture. Et de ce fait, farine + beurre + oeuf + lait +, le tout mis à cuire, voilà bien une nourriture élémentaire. Le gâteau est toujours « pâtissé » autrement dit faire une pâte... et de fait, autrefois on nommait le pâtissier, le gâtelier.
Les différents types de pâte, à partir desquelles tous les gâteaux sont fabriqués, sont nombreux : pâte levée, pâte brisée, pâte sablée, pâte tournée, pâte à choux, pâte biscuit (Génoise - Mousseline...), pâte feuilletée... Que de variété, à partir de ces grandes pâte mères !
Pour que la pâtisserie soit réussie, il faut respecter les principes liés à la préparation de ces différentes pâtes mais une fois que le pli est pris, on peut facilement innover en sucré bien entendu, mais également en salé.
Ingrédients (pour 4 personnes) :
Pour les rectangles de pâte feuilletée :
- 2 rouleaux de pâte feuilletée
- 2 c. à c. de sucre en poudre
- 4 c. à s. d'amandes effilées
Pour la compote de pommes :
- 2 pommes
- 1 c. à c. de sucre
- 10 g de beurre
- Le jus de 1/4 citron
Pour les pommes caramélisées :
- 2 pommes
- 25 g de beurre
- 1 c. à s. de sucre
- Le jus de 1/4 citron
Pour le caramel :
- 150 g de sucre
- 75 g de beurre à température ambiante
- 3 dl de crème épaisse
Technique :
1. Cuire les rectangles de pâte feuilletée : dérouler un des 2 rouleaux de pâte feuilletée, le saupoudrer de sucre en poudre.
2. Déposer la pâte avec son papier de cuisson sur une plaque de four ; la recouvrir d'une (seconde) feuille de papier cuisson ; couvrir la pâte avec une seconde plaque de four afin que la pâte ne gonfle pas de trop lors de la cuisson.
3. Enfourner à 180°C (th 6) pour 20 minutes ; sortir la pâte et laisser refroidir ; couper ensuite 6 rectangles de même taille.
4. Procéder de la même façon avec le 2ème rouleau de pâte feuilletée question d'avoir 12 rectangles de même taille soit 3 rectangles par mille-feuilles.
5. Préparer la compote de pommes : éplucher les pommes, couper en 4, retirer le coeur et les pépins puis couper en lamelles ; déposer dans une petite casserole avec le sucre, le beurre et le jus de citron ; couvrir et laisser cuire à petits feu.
6. Lorsque les pommes commencent à rejeter leur jus, enlever le couvercle de la casserole, afin que le liquide se réduise jusqu'à obtenir une compote ±dense.
7. Préparer les pommes caramélisées : éplucher les 2 pommes, couper en 4, retirer le coeur et les pépins puis couper en tranches épaisses.
8. Dans une poêle antiadhésive, faire fondre le beurre, puis ajouter le sucre, les tranches de pommes et le jus de citron ; cuire les pommes jusqu'à ce qu'elles brunissent : attention, éviter qu'elles ne brûlent !
9. Préparer le caramel : dans une petite casserole faire chauffer, sur feu moyen, le sucre et 3 cuillères à soupe d'eau ; tourner délicatement la casserole pour permettre au sucre de se dissoudre et de progressivement caraméliser.
10. Lorsque le caramel présente une couleur ambrée, hors du feu, ajouter le beurre coupé en parcelles et laisser fondre, ajouter ensuite la crème épaisse.
11. Remettre sur le feu et laisser frémir ; mélanger jusqu'à obtenir une masse homogène ; laisser refroidir.
12. Dans une poêle antiadhésive, sans matière grasse, colorer légèrement les amandes effilées.
13. Monter les mille-feuilles juste avant de servir : enduire un rectangle de pâte feuilletée de caramel, puis garnir de compote de pommes ; couvrir ensuite d'un autre rectangle enduit de caramel ; y déposer les tranches de pommes ; terminer par un rectangle et le napper de caramel ; parsemer d'amandes effilées grillées.

Toujours la farine et l'eau... mais ces pâtes-là sont desséchées, moulées ou coupées et ont pour destin une consommation différée. Qui eut en premier l'idée de ce type de pâtes ? On raconte que Marco Polo vit les Chinois manger quelque chose qui ressemblait à ce que furent, plus tard, les spaghetti. Il en aurait rapporté la recette en Europe. Les Italiens mettent fort en doute cette origine. Des documents d'archives prouvent, en effet, que les pâtes étaient déjà populaires bien avant le 13e siècle. A moins que les pâtes ne soient nées en Allemagne. Mais en ce cas, il s'agit de nouilles... Nuance !
Les pâtes en Italie comme dans les régions de l'est se consomment souvent « fraîches » c'est-à-dire pétries à la maison. Nous n'avons pas, comme l'Italien ou l'Allemand l'habitude de cette préparation familiale. Dommage ! Les « pâtes fraîches » sont tellement bonnes. Au fond, pourquoi ne pas vous y mettre ?

La « Pasta alla Vesuviana » est un plat d'origine napolitaine, plus précisément de Campanie, dont l'histoire remonte à l'époque des Bourbons, lorsque la tomate a été introduite dans la cuisine locale italienne. Son nom fait référence au Vésuve, la richesse minérale de ses sols volcaniques ayant favorisé la culture des ingrédients clés du plat, tels que les tomates, les piments, les olives et les câpres.
Ingrédients (pour 4 personnes) :
- 400 g de fettuccine
- 8 tomates
- 50 g d'olives noires ou vertes dénoyautées et hachées finement
- 50 g de câpres rincées et hachées finement
- 1/2 piment séché, épépiné et haché
- 1 gousse d'ail finement hachée
- 1/2 botte de persil plat finement ciselé
- 1/2 botte de menthe fraîche finement ciselée
- 2 c. à s. de mascarpone ou de crème fleurette
- L'équivalent de 1 c. à s. de parmesan râpé
- 1 c. à s. d'huile d'olive
- Sel - Poivre du moulin
Technique :
1. Emonder les tomates : pratiquer une incision légère en forme de croix sur le côté opposé au pédoncule des tomates ; les plonger dans de l'eau bouillante durant 10 secondes ou jusqu'à ce que la peau commence à se détacher ; les sortir et les plonger dans de l'eau glacée ; peler ensuite facilement les tomates à partir de l'incision en croix.
2. Epépiner et couper la chair en petits dés ; réserver.
3. Dans une grande casserole d'eau bouillante salée, faire cuire les fettuccine pendant 10 minutes ou jusqu'à ce qu'elles soient al dente ; égoutter.
4. Dans une casserole et l'huile chaude, faire revenir l'ail durant 3 minutes ; ajouter les tomates, le piment, le persil et la menthe ; laisser frire doucement durant 5 minutes ; incorporer le mascarpone ; saler et poivrer.
5. Ajouter les pâtes égouttées, bien mélanger ; terminer par le parmesan râpé.
6. Servir aussitôt dans des assiettes profondes chaudes.
Un certain mystère entoure l'origine du chicon. La tradition veut que ce légume belge ait été découvert par hasard durant la période au cours de laquelle la Belgique a conquis son indépendance. Pendant les jours troublés de la « Révolution de Septembre 1830 », l'agriculteur Schaerbeekois Jan Lammers déserte sa ferme. A son retour, quel ne fut pas son étonnement de constater que les racines de chicorées qu'il avait laissées dans sa cave recouvertes de terre avaient donné des feuilles blanches !!!
Ingrédients (pour 4 personnes) :
- 8 chicons
- 50 g de beurre
- Sel - Poivre
Pour la sauce au vin blanc :
- 30 g de beurre
- 60 g de farine
- 2 dl de lait demi-écrémé
- 20 cl de fond de poisson en bocal
- 1 dl de vin blanc sec
- Le jus de 1 citron
- 50 g gruyère râpé
- Sel - Poivre
Pour le montage du plat :
- ±400 g de flétan fumé
- 50 g de gruyère
- 10 g de persil frisé
Technique :
1. Parer et cuire les chicons (endives) : retirer les feuilles défraichies ; enlever un cône à la base des chicons, c'est une partie amère ; pratiquer une incision en forme de croix afin d'assurer une cuisson régulière ; laver les chicons sous un filet d'eau en entrouvrant les feuilles supérieures.
2. Dans une cocotte, faire fondre 50 g de beurre, y ranger les chicons en veillant à ce que les légumes couvrent le maximum de surface ; assaisonner de sel et de poivre ; couvrir et faire cuire, sur feu doux, pendant 1 heure.
3. En fin de cuisson, prévoir un temps d'égouttage d'au moins 30 minutes afin d'éviter que l'eau contenue dans les chicons ne vienne perturber la consistance de la sauce.
4. Préparer la sauce au vin blanc : dans une casserole, faire fondre le beurre puis ajouter la farine et mélanger ; ajouter petit à petit un mélange de lait, de fond de poisson et de vin blanc préalablement chauffé tout en fouettant énergiquement ; ajouter le jus de citron, saler et poivrer; laisser prendre la sauce sans cesser de remuer.
5. Hors du feu, ajouter le fromage râpé, bien mélanger.
6. Monter le plat : rouler les filets de flétan autour des chicons ; poser les roulades au fur et à mesure dans un plat à gratin ; napper de sauce et parsemer la surface du restant du fromage râpé.
7. Enfourner à 180°C (th 6) pour 20 minutes ; laisser cuire 5 minutes supplémentaires ou jusqu'à l'obtention d'une croûte dorée.
8. Emincer le persil et en parsemer le plat ; servir aussitôt dans le plat à gratin.
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Un bouillon est une préparation culinaire à base d'eau dans lequel on cuit un ou plusieurs aliments, tels que viande, poisson ou légumes. Lors de cette opération, saveurs, couleurs et nutriments sont transférés à la phase aqueuse par osmose ; de nouvelles molécules aromatiques sont également créées par le processus de cuisson.
La réduction d'un bouillon obtenu avec une base animale permet d'obtenir un « fond », plus concentré en arômes et saveurs.
Ingrédients (pour 4 personnes) :
- 1 oignon
- 2 + 2 gousses d'ail
- 300 g de carottes
- 1 poireau
- 3 branches de céleri vert
- 600 g de pilons de poulet
- 600 g d'ailes de poulet
- 1 bouquet garni
- 250 g d'orzo*
- 120 g de petits pois surgelés
- 1 citron bio
- Sel - Poivre
- 200 g de feta
Technique :
1. Eplucher, couper l'oignon en 4 ; éplucher, dégermer 2 gousses d'ail ; éplucher, laver, couper les carottes en grosses rondelles ; couper le vert du poireau, ne garder que le blanc, laver et couper en grosses rondelles ; ne garder que les tiges de céleri, laver, couper en grosses rondelles.
2. Déposer les légumes ainsi parés dans une cocotte ; ajouter les pilons et les ailes de poulet, le bouquet garni, peu de sel et du poivre ; mouiller avec 2,5 l d'eau et porter à ébullition ; baisser le feu et laisser cuire, à découvert et à petits frémissements, durant 2 heures ; écumer si nécessaire.
3. Retirer les légumes et le poulet avec une écumoire ; filtrer le bouillon à travers un chinois ou une passoire couverte d'une étamine ; laisser refroidir 1 heure et dégraisser.
4. Réchauffer le bouillon (± 1,5 l) avec les 2 gousses d'ail restantes dégermées et émincées, les pâtes orzo, les pois surgelée et la moitié du zeste de citron taillé en fins bâtonnets ; laisser cuire, à petits frémissement, durant 10 minutes.
5. Goûter, rectifier l'assaisonnement en sel et en poivre, ajouter éventuellement un peu de jus de citron.
6. Servir très chaud avec la feta émiettée.
* Ces petites pâtes à base semoule de blé dur sont traditionnellement façonnées pour ressembler à des grains d’orge, d’où leur nom « orzo », orge en italien. D'autres trouvent qu’elles ressemblent plus à des grains de riz. C’est de là que vient leur second nom « risoni », gros grains de riz en italien.

« Aliments cuits au pot ». C'est la définition qu'au 13e siècle on donnait au mot « potage ». Pots de terre, pots de fer et aussi pots de cuivre, il est bien certain que dès lors qu'il y eut « pot », il y eut « potage ». Les moyens de chauffage étant rudimentaires quoi de plus naturel que de faire cuire dans le pot toutes les nourritures qui s'offrent : viandes, poissons, légumes, aromates... et si l'on a du vin, mettons-y du vin ! Si bien que les premiers potages ont donné les bouillabaisses, les matelotes, les potées et même les ragoûts.
« Le potage est au dîner ce qu'est le portique à un édifice ; c'est-à-dire que non seulement il en est la première pièce mais qu'il doit être combiné de manière à donner un des Amphitryons destiné aux nouveaux riches... » Signé : Grimod de la Revnière, gastronome rival de Brillat-Savarin. Grimod de la Revnière disait encore ceci : « Le potage réussi est un signe de bonne éducation. »
Il est certain qu'aujourd'hui encore le potage revêt une modestie de grand seigneur. Sa noblesse n'est pas proclamée mais discrètement susurrée et ce sont d'insoupçonnables petits riens qui peuvent la révéler.
Ingrédients (pour 4 personnes) :
- 5 courgettes de taille standard soit ±1,2kg
- 4 oignons
- 2 branches de romarin
- 100 g de ricotta
- 50 g de fromage chèvre frais
- 15 g de feuilles de menthe
- 1 pincée de piment d'Espelette
- 2 c. à s. d'huile d'olive
- Sel - Poivre
Technique :
1. Peler les oignons, hacher très grossièrement ; laver, couper les courgettes (sauf 1/2 courgette pour la garniture) en gros morceaux .
2. Faire chauffer une cuillère à soupe d'huile d'olive dans une casserole, y faire revenir les oignons jusqu'à ce qu'ils soient transparents ; ajouter les courgettes en morceaux et les branches de romarin, couvrir tout juste d'eau et porter à ébullition ; laisser cuire sur feu doux à petits frémissements durant 25 minutes ou jusqu'à ce que les légumes soient cuits.
3. Découper la demi-courgette en petits dés ; faire revenir dans l'huile d'olive restante durant 2 ou 3 minutes ou jusqu'à ce que les dés de courgettes soient légèrement croquants ; réserver pour la finition avec 4 feuilles de menthe et ±20 g de ricotta mélangé à ±10 g de fromage de chèvre.
4. Enlever les branches de romarin puis mixer la soupe avec les feuilles de menthe et les fromages restants jusqu'à obtenir un potage lisse ; saler et poivrer le potage, rallonger avec un peu d'eau bouillante si nécessaire.
5. Servir le potage dans des bols ; garnir de dés de courgette sautés, du mélange ricotta/fromage de chèvre, de piment d'Espelette et de menthe ciselée.

Si les céréales les plus connues sont celles du petit-déjeuner, on oublie parfois que le mot « céréales » désigne avant tout des plantes à graines et qu'il en existe une grande variété sur terre.
On considère que la culture des céréales a permis l'essor des grandes civilisations, car elle a constitué l'une des premières activités agricoles. En effet, en fournissant une alimentation régulière et abondante aux populations, les céréales ont permis l'organisation de sociétés plus denses et plus complexes. C'est ainsi que les civilisations d'Europe et du Moyen-Orient se sont construites autour du blé, les civilisations d'Asie autour du riz, les civilisations d'Amérique autour du maïs, et celles d'Afrique autour du millet.
Avoine, blé, épeautre, quinoa... et si vous mettiez des céréales dans vos menus pour changer du sempiternel riz. De plus, elles sont faciles à cuisiner.
De l'assiette d'avoine du grand-père saupoudré de cassonade au « porridge revisité » aux graines de chia, myrtilles, raisins noir et noisettes… il y a de la marge ! En fait, c'est tout un nouveau monde du (petit) déjeuner qui s'ouvre à Vous.
Ingrédients (pour 4 personnes) :
- 70 g de graines de chia*
- 1 gousse de vanille
- 1,2 dl de sucre de riz liquide
- 6 dl de lait de riz
- 100 g d'airelles séchées
- 1 dl de jus ananas et citron vert
- 2 c. à s. de miel
- 80 g de raisins noirs
- 80 g de myrtilles
- 50 g de noisettes concassées grossièrement
Technique :
1. Couper la gousse de vanille en 2, en gratter les graines ; mélanger les graines de vanille avec les graines de chia, le sucre de riz liquide et la boisson au riz ; laisser reposer 2 heure au réfrigérateur, dans un récipient hermétique ; secouer régulièrement.
2. Porter les airelles séchées, le jus d'ananas-citron vert et le miel à ébullition ; laisser mijoter 5 minutes sur feu doux ou jusqu'à obtenir un sirop.
3. Rincer les raisins et les myrtilles, puis ajoutez-les au sirop d'airelles.
4. Servir le porridge aux graines de chia accompagné du sirop d'airelles et des noisettes concassées.
*Les graines de chia sont des petites graines provenant d'une plante à fleurs, parente de la sauge, provenant du Mexique et aussi des zones montagneuse du Pérou. La plupart des graines de chia sont brunes, même si certaines variétés sont blanches, beiges ou grisâtres. A savoir cependant, plus la graine est foncée plus elle sera colorante et goûtue, plus elle est claire plus elle sera neutre.
Les graines de chia ont acquis le statut de superaliment au début des années 2000 grâce à leur profil nutritionnel complet et à la popularité croissante des régimes axés sur la santé et les aliments naturels.


Au moment où vous ouvrez une boîte de conserve, de l'oxygène y pénètre. Et l'oxygène a un impact négatif sur les boîtes de conserve ouvertes car il provoque la corrosion du métal (lixiviation) et la dégradation des aliments. De plus, la barrière physique contre les micro-organismes est rompue. Il est dès lors recommandé de conserver les restes éventuels dans un autre récipient autre que métallique avec couvercle. L'aliment peut alors être conservé quelques jours au réfrigérateur à 4°C. Certaines denrées alimentaires se gâtent plus vite que d'autres en raison de la présence de micro-organismes. Il est préférable de consommer les produits à base de viande ou de poisson dans les 48 heures. En cas de doute sur la bonne conservation de ce type aliment, jetez-le !
De plus, ne consommez jamais le contenu d'une boîte de conserve bombée, cabossée ou rouillée, cela peut indiquer une contamination bactérienne due à un défaut d'étanchéité.
Valeur calorique par personne : 126 kcal
Ingrédients (pour 4 personnes) :
- 4 pommes de terre calibre moyen (soit ±600 g) à chair ferme
- 200 g de faisselle à 6% de MG
- 1 échalote
- 1/2 bouquet de persil plat
- 1/2 bouquet de ciboulette
- Fleur de sel
- Poivre noir du moulin
Ingrédients (pour 4 personnes) :
1. Laver les pommes de terre ; les cuire en robe des champs (avec leur peau) à l'eau bouillante salée durant 20 minutes ; égoutter.
2. Egoutter la faisselle et l'assaisonner ; hacher finement l'échalote et ciseler les herbes aromatiques, les ajouter à la faisselle et mélanger ; garder au frais jusqu'au moment de servir.
3. Eplucher les pommes de terre puis les détailler en rondelles.
4. Servir les pommes de terre tièdes accompagnées de la faisselle aux herbes, chaque convive se servant à volonté.
Age suggéré : Dès 6 mois
Ingrédients (pour 2 à 4 portions) :
- 1 morceau de potiron de ±200 g
- 1 carotte
- 1 pomme de terre farineuse
- 60 cl d'eau
- 1/2 c. à c. d'huile d'olive
Technique :
1. Amener 60 cl d'eau à ébullition.
2. Retirer la peau et les graines du potiron, couper la chair en morceaux ; peler la carotte, la couper en 2 dans le sens de la longueur puis la détailler en rondelles épaisses ; peler, laver, couper la pommes de terre en 4.
3. Couvrir les légumes d'eau chaude ; amener à ébullition ; couvrir et laisser cuire, à petits frémissement 30 minutes.
4. Mixer l'ensemble avec mixeur plongeant ou dans un blender ; ajouter l'huile d'olive au dernier moment.
5. Prélever la quantité nécessaire à BéBé ; réserver le reste au frigo ou le congeler en portions.
Suggestions : Vous pouvez remplacer le potiron par du potimarron. Dans ce cas, ne retirez pas la peau.
Il est aussi possible d'utiliser d'autres légumes, comme le panais ou la rutabaga.
